L'histoire que je veux, ici, vous conter,
Remonte à bien des années , en un passé éloigné.
Elle se passe en pays lointain,
Terre des milles et une nuits, en royaume iranien.
Sur le trône, un monarque superbe mais autoritaire.
Il a pour nom : Shah, un souverain craint et austère.
Sous son autorité,peu de plaisirs, peu de libertés.
Musique, chant, danse , point ne sont autorisées.
Le peuple, ,vit tristement penché sur son labeur,
Beaucoup de peines, peu de bonheur.
Pourquoi, chez ce roi, ce Shah,tant de rigueur ?
Parce qu'il est ,aussi, des croyants, le commandeur.
Par cette vie d'ascète, il souhaite gagner le Paradis.
Où, les textes sacrés lui promettent mille houris.
Ces créatures divines, ces magnifiques jeunes filles,
Aux grands yeux noirs, semblables à des perles en coquilles.
Voila qu'un jour, comme tout un chacun, en somme,
Le sévère despote atteint le bout de son chemin d'homme.
A peine le trépas survenu, le voila aux portes du Paradis.
Par sa vie sans tâches, par les sacrifices consentis,
A peine passé le seuil divin, par les houris, il est accueilli.
Et de danses, de fêtes, de musique , c'est une orgie.
Au défunt Shah sourit toute une éternité de jouissance...
Moralité : quand le Shah n'est plus là, les Houris dansent ...
Remonte à bien des années , en un passé éloigné.
Elle se passe en pays lointain,
Terre des milles et une nuits, en royaume iranien.
Sur le trône, un monarque superbe mais autoritaire.
Il a pour nom : Shah, un souverain craint et austère.
Sous son autorité,peu de plaisirs, peu de libertés.
Musique, chant, danse , point ne sont autorisées.
Le peuple, ,vit tristement penché sur son labeur,
Beaucoup de peines, peu de bonheur.
Pourquoi, chez ce roi, ce Shah,tant de rigueur ?
Parce qu'il est ,aussi, des croyants, le commandeur.
Par cette vie d'ascète, il souhaite gagner le Paradis.
Où, les textes sacrés lui promettent mille houris.
Ces créatures divines, ces magnifiques jeunes filles,
Aux grands yeux noirs, semblables à des perles en coquilles.
Voila qu'un jour, comme tout un chacun, en somme,
Le sévère despote atteint le bout de son chemin d'homme.
A peine le trépas survenu, le voila aux portes du Paradis.
Par sa vie sans tâches, par les sacrifices consentis,
A peine passé le seuil divin, par les houris, il est accueilli.
Et de danses, de fêtes, de musique , c'est une orgie.
Au défunt Shah sourit toute une éternité de jouissance...
Moralité : quand le Shah n'est plus là, les Houris dansent ...